• Phrase du jour

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  • Pétales de papillons d'aurore

     

    D'un geste de la main, balayé passé ancien, décimé espoir du matin; arrivent à moi les dangers de la solitude, vient à vous un nouveau désespéré. J'avais promis des sourires et des cris de joie doublés d'un parfum d'amours aux senteurs propres aux baisers d'été. Toutes ces longues promesses furent envolées, fauchées par une lame d'acier d'un ange au cœur de fer...

    Alors non ! Je me révolte contre mon amour ! Prends mes armes d'encre et de chagrin et renverse l'impensable et bouleverse ce qui aima d'un amour véritable. Le chagrin goutte noir, tandis que l'encre apprend de sa couleur ; tu paniques je le vois, c'est ainsi aujourd'hui : seul contre toi...

    Du haut de mon bonheur imaginaire, je saute et tombe de la terre jusqu'au Ciel pour m'élever parmi les astres en papillons d'aurores. Jamais plus, toujours banni, je n'utiliserai mes parachutes de nuage, finis les lents atterrissages, place au libre vol et dur envol du fou sans amour !..

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  • Ciations et poèmes (je sais pas trop) du livre Ghostgirl écrit par Tonya Hurley, scénariste et metteur en scène à Hollywood :

    Parce que je ne pouvais m'arrêter pour la Mort

    Gentiment il le fit pour moi.

    Le Carrosse ne renfermait que nous-mêmes

    et l'Immortalité.

    Emily Dickinson

    Les yeux des autres sont nos prisons ;

    leurs pensées, nos cages.

    Virginia Woolf

    Un fantôme est un être qui n'a pas accompli

    ce qu'il devait faire.

    Silvia Browne

    Certains croient que tenir bon rend fort ;

    mais, parfois, c'est de lâcher prise qui importe.

    Hermann Hesse

    Si vous voulez en voir d'autre, vous devrez achetez le livre.

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  • Pages au Vent

    Comme je montais des nuages rayonnants,

    Me laissant subjugué par leurs vives couleurs,

    Une lumière vint à moi en me disant :

    Nombreux sont ceux ici haut tremblant de terreur.

     

    J'étais insoucieux de ces appels aux dangers,

    Porteur de bonheurs et autres mets de grandeurs,

    Quittant la Terre et ses hommes désespérés,

    J'espérais trouver là-bas un monde meilleur.

     

    Dans les bourrasques furieuses des tempêtes,

    Moi, autre Alizé des mistrals, suis simple aveugle,

    J'eus beau penser plus haut pour fuir ce mal en fête,

    Tout me ramène au plus bas, je vouvoie vos gueules.

     

    La tourmente a béni mes éveils de pensées,

    Plus lourd qu'un miaulement de trompettes dansant,

    Triste instrument de mes rêves; La réalité,

    Une éternité sans aucun regret au temps.

     

    Léger envol d'une palpitante ancre retard,

    Amarré au ciel, demi-tour est impossible,

    Aujourd'hui tu es désirée, mais c'est trop tard,

    Lave-toi de ces dernières encore visibles...

     

    Je me suis baigné ivre aux cimes d'un orage,

    Parcourant l'univers de cette autre visée,

    Aspirant à la connaissance d'un nouvel âge,

    Désespérant de cette sagesse bafouée.

     

    Ô Genèse d'inspiration qui compte tant,

    Pourquoi cette hauteur en manque d'une fin,

    Comment espères-tu ces arcs-en-ciel voguant,

    Où vont-ils, qui es-tu, et réponds-nous enfin ?!

     

    À tous ceux qui écrivent en espérant.

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  • Caca de fête, caca qui fouette

    Qui pisse contre le vent, se rince les dents.

    Qui urine contre la tempête, mouille ses chaussettes.

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  • L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut faire semblant d'être un imbécile, alors que le contraire est impossible ! 

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  • Blanc sans N ça fait blac (black)
    comme quoi sans N (haine) 
    on est tous égaux .

     

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  • Le ballet venteux des Korrigans

     

    Le vent s'essoufle dans le feuillage,

    Les korrigans s'affolent, volant,

    De tout temps, à travers les âges,

    Les embruns assiègent nos rivages.

     

    Parcourant l'univers, le monde

    À la recherche de korrigans,

    Le vent survole ces terres fécondes

    Et de la douceur les inonde.

     

    Virevoltons chères amies,

    Il est là et mène la danse,

    Que chacun se tienne la panse !

     

    Virevoltons chers ennemis,

    Tenons-nous la main cette fois,

    Ensemble ré-inventons la joie !

     

    Sonnet cadensé censé être chantonné.

    Ce poème est à retrouver avec beaucoup d'autres ici : http://narcose.eklablog.com

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