• Citations

    Yuka :

    Quand les Yamss ont un moment de sagesse et de philosophie, ils écrivent dans cette rubrique leurs poèmes, poésies, citations et pensées préférés ou imaginés !

  • Promenade sentimentale

    Le couchant dardait ses rayons suprêmes
    Et le vent berçait les nénuphars blêmes ;
    Les grands nénuphars entre les roseaux
    Tristement luisaient sur les calmes eaux.
    Moi j'errais tout seul, promenant ma plaie
    Au long de l'étang, parmi la saulaie
    Où la brume vague évoquait un grand
    Fantôme laiteux se désespérant
    Et pleurant avec la voix des sarcelles
    Qui se rappelaient en battant des ailes
    Parmi la saulaie où j'errais tout seul
    Promenant ma plaie ; et l'épais linceul
    Des ténèbres vint noyer les suprêmes
    Rayons du couchant dans ses ondes blêmes
    Et les nénuphars, parmi les roseaux,
    Les grands nénuphars sur les calmes eaux.

    Paul Verlaine

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  • Au tréfond de mon âme,

    la mort me semble douce.

    Au clair de la Lune,

    l'espoir me semble briller.

     

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  • “Rien ne sert de courir, il faut partir à point”

    Jean de La Fontaine

    “Tout vient à point à qui sait attendre.”

    Clément Marot (je crois)

    Patience !

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  • Quand je pense à toi...

    Une douleur intense,
    Tout en souriant,
    Vient en moi.
    L'écart se creuse -
    La différence entre nous -
    Me rend malheureuse.

    Sans toi,
    Où est le minimoi?
    Milliers étoiles me voient,
    Témoignent mon coeur,
    Quand je pense à toi...

    Lilicat
    voir d'autres poèmes

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  • À quoi sert un coeur de battre,

    si ce n'est que d'aimer ... 

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  • Sois proche de tes amis,

    Et encore plus de tes ennemis ...

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  • Double rêve brisé

    Quand je te vois rêver, ô chère bien aimée,

    Que tes lèvres s'étirent en un si beau sourire,

    J'imagine un portrait, celui de tes attraits,

    Un temps de plaisirs parmi tant d'autres loisirs.

     

    Quand je te vois rêvant avec tes anges volant,

    Qu'un imprudent aimé tente de voyager,

    En tes bras l'enlaçant, tu oublies me fuyant,

    Que nous avions la clef d'un bonheur si parfait.

     

    Tantôt sonnera l'heure de la fin de ces pleurs,

    Et alors le délice sortant de ses coulisses,

    Viendra en doux prémices se poser en tes cuisses.

     

    Plus aucune lueurs, reste un poète moqueur,

    D'une triste fiction, d'une malédiction,

    En un silence profond, puis se brise au plafond !

     

    C'est l'histoire de la princesse et du prince trahi,

    Il quitte son château, son amour, et va chevaucher sa triste barrière...

    Ici la suite : http://narcose.eklablog.com

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