Le monde dans lequel je vis est injuste 

Il l'est oui,

Le restera ,

Et ne pourra pas changer,

Il y a ces gens 

Qui meurent de faim 

Et puis les autres 

Qui les regardent de haut,

Un monde cruel certes

Pourtant ce monde c'est bien le notre

C'est nous même qui avons crée

Cet enfer !

Pour certains 

Ce paradis 

Pour d'autre 

Pour moi 

Ce n'est qu'une oeuvre inachevée 

D'un artiste ...

Il oublie le bonheur sur une partie

De son paradis 

(suite par Shaira) 

D'un côté on voit une beauté,

que d'abondance,

mais d'un autre le pauvreté, la soumission, le malheur

comment se fait il,

quand on voit des enfants réclamé toujours plus,

quand d'autres fouillent des poubelles?

L'Homme à toujours voulu plus,

il a causé son propre malheur.

Il n'a jamais aidé les siens,

pourtant s'il tendait la main,

et aidait son prochain à se relever,

il pourrait construire un avenir meilleur,

car la Terre ne lui appartient pas.

Il l'emprunte à ses enfants.

Désolé mes poèmes ne sont pas aussi bien que ceux de Narcose ^^" Je veux juste dire j'ai écrit sa pour les enfants gâtés qui en veulent toujours plus alors qu'ils ont tout , j'ai mal au coeur de voir ces gens dehors alors que d'autres s'amuseent à jeter l'argent par la fenêtre ...C'est triste mais c'est ainsi.

Toi qui as tout perdu

Ce poème est pour toi,

Toi qui as tout perdu,

Toi qui es obligé de vivre dans la rue.

Un joli soir d'été,

Tout s'est envolé,

Ne restait plus que toi et ton beau coeur brisé.

Je sais que c'est dur à croire,

Mais il reste toujours de l'espoir,

Si l'on fait tous un petit effort,

Les gens comme toi seront plus forts.

Plus de peur dans ton coeur,

Plus de larmes, maintenant tu as des armes.

Continue d'espérer,

Et n'abandonne jamais.

J'ai écrit ce poème pour un SDF que j'ai rencontré dans la rue. ll m'a fait beaucoup de peine. C'est mon premier poème alors soyez indulgents et lâchez les com's ! =)

Si t'aimer est interdit alors je franchirai cette interdit pour toi ...

Si tu connais pas 

Critique pas 

Les bonnets de feuilles perdus

Les sapins en bonnet pointu,

Qui de longues robes revêtus

Saluent leurs frères abbatus,

Pleurent les bâteaux voguant du Rhin.

Soleil luisant ne drague plus

Ces terres mortuaires éperdues

Car la vie, la nature s'est tue

Devant un tel néant, ce rien.

Éternelle n'est pas l'existence

Un jour viendra où elle devra

S'en aller le plus loin, là-bas.

Immortelle n'est pas l'innocence,

Ces jours d'avant n'existent plus,

Et c'est nous qui en sommes la cause...

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Le renouveau des temps passés

Les rayons du soleil qui traversent la glace

Ne peuvent en mon coeur laisser la moindre trace.

Ce sont ces lumières qui autrefois m'ont menti

Et qui dans un profond malheur m'ont asservi.

Aujourd'hui je suis seul sans de quelconques secours

Et me dis que j'eus mieux fait de lui faire la cour.

Aie pitié de moi Univers, tends moi la main,

J'aimerais à nouveau voir demain.

Oui demain, j'aperçois déjà le monde du rêve,

Accordons-nous toi et moi une longue trêve,

Et prenons du repos le temps d'une pensée,

Une réflexion de personnes qui s'eussent aimées.

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               Première fois inoubliable, amour inégalable

Comme une caresse sur l'Océan

Portant un oiseau si léger

Revenant des terres enneigées,

J'ai fait le rêve de deux amants...

Allongé auprès de l'Amour

J'ai respiré profondément,

Ai pris goût de ces instants

Pour ne jamais oublier ce jour.

Aline, sache que je t'ai aimé

Comme jamais auparavant

Et qu'ayant goûté ces moments

Je ne puis qu'aujourd'hui rêver.

S'il existe sur Terre un jardin

Jouant le rôle de paradis,

Je pense l'avoir trouvé ici,

Dans le fond caché de tes mains.

Ce jardin d'Eden dévoilé

M'a mis c'est vrai hors de ma peau,

Fais quitter ces vieux oripeaux,

Mais surtout appris à aimer.

Pour cette découverte, ce parcours,

Je tiens à te remercier,

À ne jamais t'oublier,

Et surtout t'aimer tous les jours.

Aline, je t'aime... Tu es TOUT pour moi !

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Triste language

Tu m'as confié hier ta peur,

Que tout cela ne soit qu'un leurre,

Que l'amour en ce monde n'existe

Seulement pour que les rêves subsistent.

Tu m'as dit aussi que les mots

Ne remplaceront jamais tes maux,

Et essayer ne sert à rien,

Si ce n'est un grand chagrin.

J'ai souffert comme jamais

À t'écouter prononcer

Ce qui devait être caché ;

J'ai pleuré toutes mes larmes.

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